Bâa ngâ : mời, mói

Yângâ tî Farânzi

Sepe

Polïpa zo

Sepe

moi \mwa\

  1. mbï
    • On n’accuse point ce voyageur d’aimer à parler de soi ; on lui pardonne tous ces je et tous ces moi, parce que c’est la manière la plus claire et la plus intéressante de raconter ce qu’il a vu. — (StendhalDe l’Amour , 1re préface de 1826.)
    • Il y avait en moi autre chose que ma volonté, et cette autre chose avait peur. Je me demandai ce que je pouvais redouter ; mon moi brave railla mon moi poltron, et jamais aussi bien que ce jour-là je ne saisis l’opposition des deux êtres qui sont en nous, l’un voulant, l’autre résistant, et chacun l’emportant tour à tour. — (Guy de Maupassant, « Sur l’eau » na La maison Tellier , 1891, collection Le Livre de Poche, lêmbëtï 81)
    • Alors, il faudra que moi j’attende ce jugement aux Cinq-Fontaines, entre ton Oncle, qui me narguera, et Adalbert qui ne se fera pas de bile et dont la placidité me mettra hors de moi. — (GypLe chambard: roman d'aujourd'hui , E. Flammarion éditeur, 1928, lêmbëtï 237)
    • Je l’écoutais à peine. J'avais cédé de guerre lasse. Elle avait l’ardeur de ses 16 ans et moi la lassitude de mes sept décennies. — (Yvette Grémillon, « Ce sac à main » na Boffo Ténouga et autres nouvelles , éditions Publishroom, 2016)

Pandôo

Sepe

moi \mwa\ linô kôlï

  1. mbï

Âlïndïpa

Sepe
  • Karan, Elke, Kêtê bakarî tî Sängö: Farânzi, Angelëe na Yângâ tî Zâmani, 1st ed. , 1995 → dîko mbëtï