Bâa ngâ : pale

Yângâ tî Farânzi

Sepe

Pasûndâ

Sepe

pâle \pɑl\ wala \pal\ linô kôlï wala linô gâtï

  1. vuru/vurü → bâa terne
    • Comme presque toutes les femmes qui ont de très-longs cheveux, elle était pâle et parfaitement blanche. — (Honoré de BalzacLa Femme de trente ans , 1855)
    • Nous avons trouvé dessous une petite colonie de scorpions encore flasques et pâles, qui se sont laissés prendre et exécuter sans faire de difficultés. — (Frédéric WeisgerberTrois mois de campagne au Maroc : étude géographique de la région parcourue , Paris : Ernest Leroux, 1904, lêmbëtï 110)
    • L’épouse devient rouge et le poète devient pâle. Ils crient très fort. Le visage rouge devient pâle, la face pâle passe au rouge. — (Amand Vereecke, La tête qui tourne , éditions André de Rache, 1969)
  2. vuru/vurü → bâa blafard
    • Le soleil est bien pâle aujourd’hui.
    • Les pâles rayons de la lune.
    • Cette bougie, cette lampe ne jette qu’une lumière pâle.
    • La lueur pâle des éclairs.

Âlïndïpa

Sepe
  • Karan, Elke, Kêtê bakarî tî Sängö: Farânzi, Angelëe na Yângâ tî Zâmani, 1st ed. , 1995 → dîko mbëtï