ébouriffé
Pasûndâ
Sepeébouriffé \e.bu.ʁi.fe\
- kîrîkiri
- Il n’est pas très-bien coiffé, reprit-il en regardant la chevelure ébouriffée et luxuriante du provincial, mais je vais le mener chez Marius qui va lui ôter cette apparence de caniche si nuisible à sa considération et à la nôtre.— (Honoré de Balzac, Les Comédiens sans le savoir , 1846)
- Sa tenue noire assortie à ses mèches ébouriffées lui conférait toujours cette allure rock’n’roll dépassée. — (Blandine P. Martin, Eden , Éditions Emma/Milady, 2017, tome 2 : Les Fantômes du Nord, chapitre 12)
- (Sêkpängö) — C'est comme pour appeauter un tétras, rien de plus simple. Tu tends une feuille de chiendent entre tes deux pouces et tu souffles dans l'intervalle. Tu vois arriver le coq, la crête droite, écarlate et le collet ébouriffé. — (Jean Rogissart, Passantes d’Octobre , Paris: Librairie Arthème Fayard, 1958)
- — Je suis contente, dit Marie, que le docteur ne m’ait pas vue. Je suis tout « ébouriffée ».
Pauvre chérie ! dont les cheveux alourdis par l’eau et le cosmétique sont si plats ! — (Germaine Acremant, Ces dames aux chapeaux verts , Plon, 1922, réédition Le Livre de Poche, lêmbëtï 122)
Âlïndïpa
Sepe- Musanji Ngalasso-Mwatha, Bakarî Farânzi – Lingäla – Sängö , 2013, OIF/ELAN/Présence africaine