Bâa ngâ : education

Yângâ tî Farânzi

Sepe

Pandôo

Sepe

éducation \e.dy.ka.sjɔ̃\ linô gâlï

  1. fängö-yê
    • Il n’existe au Pérou aucune institution pour l’éducation de l’un ou de l’autre sexe ; l’intelligence ne s’y développe que par les forces natives. — (Flora Tristan, « Les Femmes de Lima » na Revue de Paris , 1836, tome 32)
    • Les hommes qui ont reçu une éducation primaire ont, en général, la superstition du livre, et ils attribuent facilement du génie aux gens qui occupent beaucoup l'attention du monde lettré. — (Georges Sorel, « Lettre à Daniel Halévy, 15 juillet 1907 » na Réflexions sur la violence , 1908)
    • En Allemagne, en France, et même dans l’Angleterre victorienne, la montée de l’autoritarisme familial produit des schizophrènes, des suicidés, des alcooliques. L'éducation devient persécution. — (Emmanuel ToddLe Fou et le Prolétaire , 1979, réédition revue et augmentée, Paris : Le Livre de Poche, 1980, lêmbëtï 114)
    • L'éducation peut être définie comme un double mouvement qui porte à la fois vers l'extérieur et à l'intérieur de soi. — (Raphaël Arteau, « McNeil » na La perte et l'héritage , Boréal, Montréal, 2018, lêmbëtï 62)

Âlïndïpa

Sepe