Yângâ tî Farânzi Sepe

Palî Sepe

éduquer \e.dy.ke\ palî tî mbenze

  1. fa yê
    • Il ordonna, de sa petite voix, que sa mère serait régente pour avoir soin de son éducation ; en d'autres termes, il commanda qu'elle lui commandât, l’éduquât, le châtiât. — (Jules MicheletHistoire De France au dix-septième siècle : Henri IV & Richelieu , Paris : chez Chamerot, 1857, lêmbëtï 203)
    • 22 mai — Nous avons incinéré le corps de sir William Beabs. Serait-il pas intéressant que j’éduquasse un disciple qui pourrait, sur moi-même, dans des conditions que je dé....
      Le feuillet s'arrêtait à cet endroit. Le dernier mot était sans nul doute « déterminerais ».
      — (Maurice Toesca, « La suprême tentative » na Le clin d'œil , Paris : chez P. Seghers, 1952)
    • Soit, d'abord, le niveau culturel. En 529 le concile de Vaison avait ordonné que les prêtres ruraux éduquassent les candidats à la cléricature. — (Alain Derville, Quarante générations de Français face au sacré: Essai d'histoire religieuse de la France (500-1500) , Presses Universitaires du Septentrion, 2006, lêmbëtï 25)
    • La semaine suivante ils allèrent s'éduquer au Jardin des Plantes et se firent chier au bout de dix minutes. Cathy dit qu'il aurait fallu s'accompagner d'un spécialiste, un botaniste, un plantologue, un fleuromancien, quelqu'un comme ça. — (François BégaudeauVers la douceur , Éditions Gallimard, 2009, lêmbëtï 151)
    • On craignait une chaîne du bavoir et de la condescendance. Et puis, il y eut cette pub désastreuse : « Éduquons ! C'est une insulte ? » Non. Ce n'est qu'une connerie. Pourquoi mal imiter un faux esprit de cour de récré ? — (« L'entrée en Cinquième » na Jean-Pierre DufreigneL'Express , 12 Nyenye 1995, lêmbëtï 58)

Âlïndïpa Sepe