Yângâ tî Farânzi

Sepe

Pandôo

Sepe

élevage \ɛl.vaʒ\ linô kôlï

  1. (Fängö-yäkä) bätängö, bätängö-nyama
    • Ensuite - lorsque, avec la découverte de l’élevage et de l’agriculture, un homme sut produire davantage qu'il ne lui fallait pour vivre - les vainqueurs trouvèrent plus commode de réduire les vaincus au servage et de les faire travailler pour eux. — (Errico MalatestaLe Programme anarchiste )
    • Il faut, autant que possible élever les chevaux à l’écurie, l’élevage en liberté n’est pas, tant s’en faut, aussi économique que l’élevage à l’écurie. — (Jean DéhèsEssai sur l’amélioration des races chevalines de la France , École impériale vétérinaire de Toulouse, Thèse de médecine vétérinaire, 1868)
    • L’élevage des vers à soie « ne paie plus ». Voilà pourquoi, aujourd’hui, dans le Gard, on arrache les mûriers : on les remplace imprudemment par des vignes.... — (Ludovic NaudeauLa France se regarde , 1931)
    • Ce que nous savons du genre d’élevage pratiqué nous incite à penser que la récupération du fumier était faible. Les 20 à 30 millions de moutons pacageaient presque toute l'année sur les landes ; une faible part pacageait les jachères. — (Henri NoilhanHistoire de l'agriculture à l'ère industrielle , Paris : E. De Boccard, 1965, lêmbëtï 137)

Âlïndïpa

Sepe
  • Karan, Elke, Kêtê bakarî tî Sängö: Farânzi, Angelëe na Yângâ tî Zâmani, 1st ed. , 1995 → dîko mbëtï