Yângâ tî Farânzi Sepe

Pandôo Sepe

éleveur \e.lə.vœʁ\ linô kôlï

  1. (Bätängö) wabätängö-nyama
    • Suivez donc la marche que vous avez adoptée, éleveurs de l’Artois, de la Picardie, du Perche, des Ardennes et de la Franche-Comté, votre intelligence est au-dessus de celle de l’administration des haras. — (Jean Déhès, Essai sur l’amélioration des races chevalines de la France , École impériale vétérinaire de Toulouse, Thèse de médecine vétérinaire, 1868)
    • L’éleveur ne peut vendre aucun des chevaux d’élevage de son taboune avant qu'il ait atteint l'âge de trois ans et demi et qu'il ait été présenté à la commission. — (Revue militaire des armées étrangères , tome 1, éd. R. Chapelot & Cie, 1904, lêmbëtï 129)
    • De même le chasseur, quand il intervint pour guider les migrations naturelles des troupeaux, qu'il se contentait au début de suivre, devint un pasteur ; puis éleveur, quand il fit venir artificiellement, « agriculturalement », une partie du fourrage. — (René DumontVoyages en France d'un agronome , Librairie de Médicis, 1951, note n°1, lêmbëtï 13)

Âlïndïpa Sepe