Yângâ tî Farânzi Sepe

Pandôo Sepe

éloge \e.lɔʒ\ linô gâlï

  1. gônda
    • En vain je portai aux nues la qualité de leur lait, en vain j'assurai que je n'en avais bu de meilleur, mes éloges ne me valurent aucun répit, et je dus me gorger de lait […]. — (lieutenant J. B. Wellsted, « Voyage en Arabie et le long des côtes de la Mer rouge » na L’Écho du Monde Savant, journal analytique des nouvelles et des cours scientifiques , n° 430 du mercredi 17 avril 1839, lêmbëtï 248)
    • Je quitte Dollero tout heureux car, au milieu de ses éloges, il a, prétend-il, trouvé une épigramme, inspirée par Epitalion, le maréchal des logis du commandant Gérard, qui a envie de se fiancer: […]. Je l'attriste en soutenant que c'est encore un éloge et pas une épigramme. — (Jean GiraudouxRetour d'Alsace - Août 1914 , 1916)
    • Chacun tenant à rester sur la défensive, le silence se prolongeait quand le Carcan, pour rompre cette gêne, trouva un moyen terme et entama l’éloge du vin qui restait dans son verre. — (Louis Pergaud, « Joséphine est enceinte » na Les Rustiques, nouvelles villageoises , 1921)
  2. gônda
    • Les journalistes, dont il récompensait, de son vivant, les tumultueux éloges, se taisent aujourd'hui. Nous pouvons parler de l'homme sans soulever des récriminations à gages et des tempêtes soldées. — (Eugène de MirecourtCavour , Paris : Achille Faure, 1867, lêmbëtï 5)

Âlïndïpa Sepe