Yângâ tî Farânzi

Sepe

Palî

Sepe

épater \e.pa.te\ palî tî mbenze

  1. (Zäzämä) hön ndö
    • Je me revois tout chétif, tout mièvre, suivant les cours du catéchisme, où j’arrivais bon premier. Ma piété, mon application épataient le bon curé. — (Victor MéricLes Compagnons de l’Escopette , Paris: Éditions de l’Épi, 1930, lêmbëtï 247)
    • Déjà quand j’étais petit garçon, répond Siméon, j’épatais mes parents en composant des itinéraires dans le jardin pour mes modèles réduits de voitures. — (Jacques BensLente sortie de l’ombre , Stock, 1998, lêmbëtï 148)

Âlïndïpa

Sepe