Yângâ tî Farânzi

Sepe

Pandôo

Sepe

étoffe \e.tɔf\ linô gâlï

  1. bongö
    • Les femmes portent une jupe en vadmel, ou grossière étoffe de laine noire, et un corsage de même étoffe, ouvert au milieu pour laisser voir une chemise brodée. — (René VerneauLes races humaines , Baillière & fils, 1890, lêmbëtï 653)
    • Quatorze colonnes de bois, hautes de vingt-trois pieds, tendaient au-dessus de la salle un ciel d'étoffe écarlate. — (« Une fête à Alexandrie » na Pierre LouÿsArchipel , 1896)
    • Des lois répressives furent édictées ; c'est ainsi qu'on défendit d’entrer et de mettre en vente en France des étoffes des Indes, de la Chine et du Levant, […]. — (Étienne DupontLe vieux Saint-Malo - Les Corsaires chez eux , éd. Honoré Champion, 1925, lêmbëtï 119)
    • Bernard sourit, hocha la tête et, glorieux de son vêtement coupé dans une étoffe cannelle de mauvais goût, m'offrit une cigarette. — (Francis CarcoImages cachées , 1928)

Âlïndïpa

Sepe