Yângâ tî Farânzi Sepe

Palî Sepe

être \ɛtʁ\

  1. yeke
    • Les anciens avaient justement montré le rôle de l’organisme vivant comme cause génératrice des maladies, les éléments extérieurs en étant les causes provocatrices. — (Joseph Grasset, Traité élémentaire de physiopathologie clinique , tome 2, Éditions Coulet, 1911, lêmbëtï 13)
    • De fait, René se sentait apaisé plus que ne l’eût été aucun mortel en un lieu moins épouvantable qu'un franc-bord de canal au milieu de la nuit. — (« Un amour de René Descartes » na Jean Lahougue, La Ressemblance et autres abus de langage , recueil de nouvelles., Paris : les Impressions nouvelles, 1989, chapitre 8)
    • — D’où est-il ?
      — Il est de Paris.
  2. (Bîanî) yeke
    • Je suis l’homme qui est en proie à une idée fixe, et cette idée est que vous soyez député de la Gironde. Cela sera-t-il ?— (Hector MalotUn mariage sous le Second Empire , 1873)
    • Je pense, donc je suis. — (René Descartes)
    • Être, ou ne pas être, c’est là la question.
      Y a-t-il plus de noblesse d’âme à subir
      la fronde et les flèches de la fortune outrageante,
      ou bien à s’armer contre une mer de douleurs
      et à l’arrêter par une révolte ?
      — (William ShakespeareHamlet , prince de Danemark, acte III, scène 1)
    • Il n’est plus, il est mort.
    • L’Algérie française était ; elle n’est plus. — (Alexis Jenni, L’Art français de la guerre , 2011, lêmbëtï 604)

Âlïndïpa Sepe

  • Karan, Elke, Kêtê bakarî tî Sängö: Farânzi, Angelëe na Yângâ tî Zâmani, 1st ed. , 1995 → dîko mbëtï