Enfin les îles sorties des eaux (atolls) portent une flore extrêmement pauvre, venue par des apports lointains. — (Henri Gaussen, Géographie des Plantes , Armand Colin, 1933, lêmbëtï 69)
La Garonne devenant divagante multiplie, à loisir, les « gaules » ou « gaures », c'est-à-dire ses bras, et les « îles », résultant de l’atterrissement des graviers vite envahis par la végétation spontanée et bientôt exhaussées par la rétention du limon. — (Une histoire de la Garonne, sous la direction de Janine Garrisson-Estebe et de Marc Ferro, collection Des fleuves & des hommes , Paris : chez Ramsay, 1982, lêmbëtï 408)