Yângâ tî Farânzi Sepe

Pandôo Sepe

lundi \lœ̃.di\ , \lɛ̃.di\ wala \lœ̃.d͡zi\ linô kôlï

  1. bïkua-ôko/bïkua ôko, bïkwa-ôko
    • Le lundi, dix-huitième jour du mois d’août 1572, il y avait grande fête au Louvre. — (Alexandre DumasLa Reine Margot , 1886)
    • […] Catherine, Lioubotchka et Volodia me regardèrent exactement du même air dont nous regardions la chaîne des forçats, qui passait tous les lundis sous nos fenêtres. — (Léon TolstoïSouvenirs , 1851-1857, traduction de Ardève Barine, éd. 1922)
    • Le lundi vint, le lundi timide, qui s’excuse en montrant derrière lui les jours innombrables qui le poussent. — (« Le Petit Duc » na Jean GiraudouxProvinciales , Grasset, 1922, réédition Le Livre de Poche, lêmbëtï 96)
    • Il faut, pour chaque mois, tenir compte du nombre de samedis, jour où les mariages sont, de très loin, les plus nombreux, de celui des lundis, où la nuptialité est, aussi, supérieure à la moyenne, enfin, des dimanches, où aucun mariage n'est, bien-sûr, célébré. — (« Guerre et nuptialité : Réflexions sur l'influence de la seconde Guerre mondiale, et de deux autres, sur la nuptialité des Français » na François Ronsin, Population & sociétés , INED, 1995, vol. 50-1, page 129 - note 6)
    • De nouveau il crachinait. Le printemps du dimanche n'avait été qu'un faux-semblant et l'aube du lundi avait ramené les nuages. — (Pierre LucasPolice des mœurs , n° 66 : Les dingues du Hainaut, Vauvenargues, 2014, chapitre 11)
    • Lundi, je vais à la pêche.

Âlïndïpa Sepe

  • Karan, Elke, Kêtê bakarî tî Sängö: Farânzi, Angelëe na Yângâ tî Zâmani, 1st ed. , 1995 → dîko mbëtï