Yângâ tî Farânzi Sepe

Pandôo Sepe

mercredi \mɛ.kʁə.di\ wala \mɛʁ.kʁə.di\ linô kôlï

  1. bïkua-otâ,bïkwa-otâ
    • L'autre grande place de Parthenay, […], comme tous les mercredis grouillait de paysans en blouses bleues toutes neuves rêches comme des chasubles, de paysannes arborant sur leurs têtes leurs gâtinelles aux longs rubans de moire blanche, de maquignons, leurs fouets autour du cou, des bouviers, l'aiguillon à la main comme une lance, […]. — (Michel RagonLa Louve de Mervent , éditions Albin Michel, 1985, livre 2, chapitre 1)
    • Hier matin, vous n'êtes pas allé marcher avec le club, comme tous les mercredis. Comme par hasard, c'est le jour où votre voisin se fait assassiner. Il insista lourdement sur ce dernier mot. — (Jean-Luc Loiret, On ne meurt jamais par hasard , La Crèche : Geste Éditions, 2019, chapitre 16)
    • La travailleuse a dû être transportée à l’hôpital de Kelowna, où elle se trouvait toujours mercredi. — (Agence QMI, « Elle fait une crise cardiaque après une altercation avec un antimasque » na Le Journal de Québec , 26 Nabändüru 2020)
    • Je ne savais pas que dans un autre langage cette joie de vivre se nomme brutalité, éducation vulgaire. Que la bonne, pour les petites filles, consiste à ne pas hurler comme une marchande de poisson, à dire zut ou mercredi, à ne pas traîner dans la rue. — (Annie ErnauxLa Femme gelée , 1981, réédition Quarto Gallimard, lêmbëtï 341)

Âlïndïpa Sepe

  • Karan, Elke, Kêtê bakarî tî Sängö: Farânzi, Angelëe na Yângâ tî Zâmani, 1st ed. , 1995 → dîko mbëtï