Yângâ tî Farânzi

Sepe

Pandôo

Sepe

aïeul \a.jœl\ linô kôlï

  1. tarä
    • Les enfants arrêtaient sur leur aïeul des yeux d'une pénétrante vivacité. — (Honoré de BalzacLa Femme de trente ans , 1855)
    • Une partie de cette grande fortune fut dépensée à la cour de France par l’aïeul et le bisaïeul du comte Charles; son père en dissipa le reste, et ne lui laissa que des terres grevées d’obligations et d’hypothèques. — (Julie de Quérangal, « Philippe de Morvelle » na Revue des Deux Mondes , 1833, T. 2, 4)
    • La terre que l’aïeul paternel de Saint-Ybars, émigré du Canada en Louisiane, avait achetée en 1749, n’était alors qu’un désert dont le centre était occupé par un bosquet de chênes séculaires. — (Alfred MercierL’Habitation Saint-Ybars , 1881)
    • Cela suffit à les convaincre plus tard que la mathématique, mère de la science naturelle exacte et grand-mère de la technique, était aussi l’aïeule de cette mentalité qui suscita pour finir les gaz toxiques et les pilotes de guerre. — (Robert MusilL’Homme sans qualités , gbïänngö tî Philippe Jaccottet, 1956, 1930-1932, lêmbëtï 50)
    • M. de Montausier racontait avec plaisir les services que son aïeul avait rendus à Henri IV. — (Esprit FléchierMontausier — cité par Littré )
    • Le fils est, à l’égard du père ou de la mère, au premier degré de parenté et réciproquement ; l’aïeul est, à l’égard du petit-fils, au deuxième degré ; le bisaïeul, au troisième degré, le trisaïeul, au quatrième degré, et ainsi de suite. — (Institutes, ou Principes des lois civiles , Charles Jean Baptiste Amyot, 1833 → dîko mbëtï)
  2. kötarä
    • Le mot AÏEUL n'a point de composé au delà de ceux de Bisaïeul et de Trisaïeul; et quand on parle des degrés plus éloignés, on dit Quatrième aïeul, cinquième aïeul, etc. — (aïeul - Dictionnaire de l'Académie française )
  3. (Könöngö) mbäkôro
    • L’aïeul mourait froid et rigide.
      Il avait quatre-vingt-dix ans.
      La blancheur de son front livide
      Semblait blanche sur ses draps blancs.
      — (Guy de Maupassant, « L’Aïeul » na Des vers , 1880, 3e édition)

Âlïndïpa

Sepe