Yângâ tî Farânzi

Sepe

Pandôo

Sepe

aïeule \a.jœl\ linô gâlï

  1. tarä
    • Je ne bouge donc point, je me rensommeille, seulement voilà les crac-crac qui recommencent dans la souillarde, je veux me réveiller, j’arrive point à me réveiller et une voix tout-doux-tout-doux, mais mais si claire que je reconnais feu mon aïeule, donc une voix me fait : « Eustolia, où tu habites, à présent, Eustolia ? Déménage, ma fille, à Sosnovka. » — (Lettres soviétiques , 1969, lêmbëtï 121)

Âlïndïpa

Sepe