Yângâ tî Farânzi

Sepe

Palî

Sepe

absorber \ap.sɔʁ.be\ palî tî mbenze

  1. nyö
    • Mais d’abord, nierez-vous qu’en Bretagne des monomanes de l’ingurgitation absorbent par jour jusqu’à quatorze litres de cidre ? — (Ludovic NaudeauLa France se regarde , 1931)
    • Armé d'un chalumeau, le gnome absorbait à même le ruisseau la boisson répandue. C'était grotesque, révoltant. — (Francis CarcoBrumes , Paris: Éditions Albin Michel, 1935, âlêmbëtï 56)
    • Je suis boulimique, j’absorbe des tonnes de bonbons, je cuisine plein de gâteaux, des puddings, des fars bretons, des gâteaux de riz, plus c'est compact, plus je me gave. — (Isabelle Yhuel, Mère et fille : l'amour réconcilié , avec la collaboration d’Alain Guy, Éditions J'ai Lu, 1999 — (propos tenus par Marguerite, 42 ans))
    • Les sables, les terres sèches et légères absorbent les eaux de la pluie en un moment.
    • Les pluies s’absorbent dans les sables.
      • Le noir absorbe la lumière.
      • Une voix faible est absorbée dans un grand chœur de musique.
      • L’odeur de la tubéreuse absorbe l’odeur de la plupart des autres fleurs.

Âlïndïpa

Sepe