Yângâ tî Farânzi

Sepe

Pandôo

Sepe

accoutrement \a.ku.tʁə.mɑ̃\ linô kôlï

  1. (Mbäkôro) sïöyüngö-bongö
    • Enfin je n'y tins plus, je mis bas pantalon, bottes et chaussettes, je complétai mon accoutrement de pêcheur sur le modèle de celui de Maurice, […]. — (Alexandre Dumas, « Impressions de voyage » na Revue des Deux Mondes , 1833, T. 1)
    • Des bonnets de fourrure, des ceintures de peau de daim complétaient l'accoutrement. — (Jules VerneLe Pays des fourrures , Paris: J. Hetzel et Cie, 1873)
    • […], un accoutrement de voyage qui n’est de bon goût ni dans sa coupe démodée ni dans sa couleur tapageuse. — (Jules VerneClaudius Bombarnac , Paris: J. Hetzel et Cie, 1892, âlêmbëtï 3)
    • Pensant à son accoutrement, il se défit de son faux-col et de sa casquette blanche d’aéronaute, qui pouvaient le trahir, […]. — (H. G. WellsLa Guerre dans les airs , gbïänngö tî Henry-D. Davray na B. Kozakiewicz, 1908; Paris: Mercure de France, édition de 1921, lêmbëtï 356)
    • Où donc était-il passé depuis le temps, car il n’avait assurément pu songer, dans l’accoutrement où il était, à descendre en ville ? — (« La Disparition mystérieuse » na Louis PergaudLes Rustiques, nouvelles villageoises , 1921)

Âlïndïpa

Sepe