Pandôo

Sepe

acolyte \a.kə.lit\

  1. sereväan

Yângâ tî Farânzi

Sepe

Pandôo

Sepe

acolyte \a.kɔ.lit\ linô kôlï

  1. (Nzapä) sereväan
    • Faire les fonctions d’acolyte à une grand-messe.
    • Les autres arrivaient ensuite : les « pots de fleurs », simples figurants en robe rouge et surplis blanc qui se croisaient les bras, le thuriféraire et le naviculaire avec l’encensoir, les deux acolytes en soutane blanche, le cérémoniaire, le plus beau de tous avec une robe violette, un surplis de dentelle et un scapulaire bordé d’hermine. — (Jean L’HôteLa Communale , Seuil, 1957, réédition J’ai Lu, lêmbëtï 75)
    • Comme marque propre de son office, l’acolyte reçoit un petit sac pour porter les saintes espèces. — (Éleuthère Kumbu ki Kumbu, Vie et ministère des prêtres en Afrique , 1996)
  2. (Na sïönî nî, Mbumbuse, Könöngö) fömbâ
    • Et, comme dans le récit de sa mère, cet homme qui vient à elle, le rire aux lèvres, c’est Concini ! Derrière lui, deux acolytes sautent dans la salle. — (Michel ZévacoLe Capitan , 1906, Arthème Fayard, collection « Le Livre populaire », 1907, no 31)
    • Il ne fait que traîner et faire des bêtises avec ses deux acolytes.
    • C’est son digne acolyte.
    • Nous allons le conserver précieusement, comme un monument, un des chef-d’œuvre des acolytes du gouvernement dans l’œuvre de cambriolage des consciences qui, non contente de s’exercer en Haïti, étend ses ravages jusqu’à l’étranger. — (« Un mensonge de plus » na Le Matin , 24 Ngubê 1926, page 1, colonne 4 → dîko mbëtï)

Âlïndïpa

Sepe