Yângâ tî Farânzi Sepe

Pandôo Sepe

affection \a.fɛk.sjɔ̃\ linô gâlï

  1. yëngö-ndo
    • Et si les sentiments de jalousie demeurent dans le cœur de chacun vis-à-vis de l’autre, ce n’est pas dans la douleur d’une affection déçue qu’ils résident ; c’est dans l’instinct de propriété. — (Alfred NaquetVers l’union libre , 1908)
    • Il s’était excusé sur sa peur des amitiés nouvelles, ce qu’il avait appelé, par galanterie, sa peur d’être malheureux. « Vous avez peur d’une affection ? comme c’est drôle, moi qui ne cherche que cela, qui donnerais ma vie pour en trouver une, avait-elle dit d’une voix si naturelle, si convaincue, qu’il en avait été remué. — (Marcel ProustUn amour de Swann , 1913, réédition Le Livre de Poche, lêmbëtï 18)
    • Thomyra est l’amie et l’amante de la belle fille qui se nomme Penthésilée, et elle craint de perdre une affection qui lui est chère, si elle devient grosse des œuvres du captif. — (Renée DunanCes Dames de Lesbos , 1928)
    • Avec beaucoup de tact, ce vieillard, qui savait n’être ni autoritaire ni égoïste, s’efforçait de gagner l’affection de Nazira et de se faire pardonner d’être vieux. — (Out-el-Kouloub, « Nazira » na "Trois contes de l’Amour et de la Mort" , Édition Corrêa, 1940)
    • À ses remerciements, Olga avait répondu : « Mais, madame, c’est par affection. » Maman répéta plusieurs fois d’un air rêveur et pénétré : « Elle m’a dit : c’est par affection. » — (Simone de BeauvoirUne mort très douce , Gallimard, 1964, Le Livre de Poche, lêmbëtï 13)
  2. (Sêndânganga) kobêla
    • Maxime eut soin de se placer à une certaine distance de quelques vieillots qui par habitude se mettent en espalier, dès une heure après midi, pour sécher leurs affections rhumatiques. — (Honoré de BalzacBéatrix , 1838-1844, troisième partie)
    • Ce troupeau appartenait au juge de Werst, le biró Koltz, lequel payait à la commune un gros droit de brébiage, et qui appréciait fort son pâtour Frik, le sachant très habile à la tonte, et très entendu au traitement des maladies, muguet, affilée, avertin, douve, encaussement, falère, clavelée, piétin, rabuze et autres affections d’origine pécuaire. — (Jules VerneLe Château des Carpathes , J. Hetzel et Compagnie, 1892, âlêmbëtï 1-16)
    • Outre les traumatismes et brûlures par produits chimiques, les affections de la langue les plus fréquentes chez les bovins sont l’actinobacillose ou langue de bois et la nécrobacillose. — (Institut de l’élevage, Maladies des bovins : manuel pratique , France Agricole Éditions, 2008, lêmbëtï 146)

Âlïndïpa Sepe