affoler

Yângâ tî Farânzi

Palî

affoler \a.fɔ.le\ palî tî mbenze

1. bi tombôka
   • Cet événement a de quoi l’affoler.
   • Cette femme l’a affolé.
   • Il est affolé de sa femme.
   • Il est affolé de sa maison.
   • « Au mois de juin prochain, Marcel va se présenter à un examen très important, et il aura beaucoup à faire cette année, et surtout pour l’orthographe. Il met deux l à « affoler », et je parie qu’il ne saurait pas écrire « ermite. » — (Marcel Pagnol, Le Château de ma mère , 1958, collection Le Livre de Poche, lêmbëtï 171)
   • La famille Dreffas compte vous affoler en publiant votre écriture dans les journaux, et que vous vous enfuirez en Hongrie chez vos parents. — (Joseph Reinach, Histoire de l'affaire Dreyfus: Volume 2 , 1903)
   • S’affoler de quelqu’un, de quelque chose.
2. (Tî halëzo, Wapolïpa) sâra hîo
   • Allez, les gars, affolez-vous !

Âlïndïpa

• Musanji Ngalasso-Mwatha, Bakarî Farânzi – Lingäla – Sängö , 2013, OIF/ELAN/Présence africaine