Yângâ tî Farânzi Sepe

Palî Sepe

affubler \a.fy.ble\ palî tî mbenze

  1. yü bongö sïönî
    • […], ce même roi de France, faute d'un héraut […], fut contraint de suborner un valet, de l’affubler d'une bannière de trompette avec un trou an milieu , afin que le prétendu héraut passât sa tête au travers, et la jetât sur ses épaules en guise d'une cotte d'armes aux armes de France. — (« Quentin Durward » na Œuvres de Walter Scott , traduites et annotées par Auguste-Jean-Baptiste Defauconpret, Paris : chez Furne, Charles Gosselin & Perrotin, 1835, tome 15, note (p), lêmbëtï 551)
    • Quelle pitié c'était de les voir toutes les deux, jolies, l’une blonde, l’autre brune, affublées comme des mendiantes, la grâce et la douceur en personnes. — (Marcel JouhandeauChaminadour , Gallimard, 1941 et 1953, collection Le Livre de Poche, lêmbëtï 106)
    • Des Allemands… des Italiens aussi… Ils ont une de ces touches ! Ah ! non, ça, alors, ils sont drôles, ce n’est pas sérieux d’affubler des hommes de plumes de coq ! — (Elsa TrioletLe premier accroc coûte deux cents francs , 1944, réédition Cercle du Bibliophile, lêmbëtï 65)
    • Malgré les souffrances physiques que j’endure au moment où je trace ces lignes, je me souviens non sans une mélancolie amusée de l’abominable caban bleu marine dont m’affublait l’autrice de mes jours sans tenir compte de mes supplications : […]. — (Alain Giraudo, Le Respect qu'on se doit , Mon Petit Éditeur, 2014, lêmbëtï 19)
    • S’affubler d’un manteau extraordinaire. — Elle s’affubla d’une longue mante.

Âlïndïpa Sepe