Yângâ tî Farânzi Sepe

Pandôo Sepe

ambiguïté \ɑ̃.bi.ɡɥi.te\ linô gâlï

  1. sêyêgbâ
    • En l'état actuel des grammaires locales de levée d’ambiguïté, de très nombreuses configurations syntaxiques sont opaques et elles devraient le rester très longtemps, d'ici à ce que l'on puisse à coup sûr les soumettre à des automatismes. — (Jean-Marie Viprey, « DIATAG : convivialité d'étiquetage des ambigus réels,; application pour les formes composées » , dans INTEX pour la linguistique et le traitement automatique des languessous la direction de Claude Muller, Jean Royauté & Max Silberztein,Presses Univ. Franche-Comté, 2004, page 271 )
    • La conséquence de ce complexe d’ambivalences est une série d’ambiguïtés aux niveaux différents du statut du texte littéraire, du traitement didactique de ce texte, et des fonctions de l'enseignant. — (« Ambiguïtés et ambivalences dans le traitement didactique du texte littéraire dans l'enseignement de l'espagnol en France » na Christian Puren, Ambiguïtés, ambivalences , textes réunis par Anne-Marie Vanderlynden, Cahiers du CRIAR n° 14, Publication Univ. Rouen-Le Havre, 1995, lêmbëtï 188)
    • Faire hésiter le spectateur entre sa réalité et celle que le spectacle lui propose, cʼest ce que J. Morel a appelé à propos du théâtre de Rotrou, la dramaturgie de lʼambiguïté. — (Georges ForestierLe théâtre dans le théâtre sur la scène française du XVIIe siècle , 1981)
    • Le philosophe doit éviter les ambiguïtés ou les plurivocités, et décider du langage qu'il entend au juste parler. Dans le cas contraire, les portes sont grandes ouvertes aux malentendus. — (Robert Zimmer, Petites distractions philosophiques: Comment apprendre à penser sans jamais s'ennuyer , Librairie Vuibert, 2017, chap. 1)

Âlïndïpa Sepe