anciens
Lêpa tî pandôo
Sepeanciens \ɑ̃.sjɛ̃\ lîno kötï sêmîngi
- mbeso
- Si l’essor du phénomène associatif (loto des pompiers, des musiciens à la Sainte-Cécile, du club du troisième âge, des parents d’élèves, des anciens combattants, des boulistes, de la paroisse, des chasseurs…) atteste de mutations sociales et favorise des ambiances particulières, il montre aussi la permanence des besoins de la communauté. — (Claude Rivière, Les rites profanes , Presses universitaires de France, 1995, lêmbëtï 240)
- « Lorsque les scies peuvent parvenir directement, c’est-à-dire, parcourir toute la longueur de l’espace dans lequel elles doivent agir, on les insinue, si l’on peut, la lame étant de suite montée sur champ, ou dans le cas contraire, droite, pour la tourner, quand elle est parvenue au collet de la dent, où l’espace est toujours plus grand, surtout en avant ; s’il était impossible que cette lame pénétrât ainsi, on la démonterait pour la faire arriver par une de ses extrémités, sa dentelure regardant le côté opposé à la gencive ; puis on la tournerait et on la monterait ainsi dans la bouche ; mais il est rare qu’on en vienne là, parce que la dent que l’on veut déchapeler, suivant l’expression des anciens, devant être sacrifiée, on ne craint pas de frayer avec la lime, à ses dépens, une voie par laquelle la scie pénétrera jusqu’à son collet » — (« Nouveaux éléments complets de la science et de l’art du dentiste » na Jacques Lisfranc & Désirabode et ses fils, Précis de médecine opératoire , 1845, tome IIe, page 417.)
Âlïndïpa
Sepe- Karan, Elke, Kêtê bakarî tî Sängö: Farânzi, Angelëe na Yângâ tî Zâmani, 1st ed. , 1995 → dîko mbëtï