Yângâ tî Farânzi Sepe

Pandôo Sepe

anthropophage \ɑ̃.tʁɔ.pɔ.faʒ\ linô kôlï

  1. watëngö-zo
    • Quand on parle d’anthropophages, nous sourions avec orgueil en proclamant notre supériorité sur ces sauvages. Ceux qui se battent pour manger les vaincus ou ceux qui se battent pour tuer, rien que pour tuer? — (Guy de MaupassantSur l'eau , 1888)
    • Les tigres deviennent rarement des mangeurs d’hommes ; en fait, ils évitent normalement le contact avec les humains. Quelques anthropophages peuvent être des sujets vieux ou malades, mais il y a aussi beaucoup de cas de jeunes en bonne santé ayant acquis cette habitude. — (« L'encyclopédie des animaux du monde » na Le Tigre, in, Éditions SOLAR )
    • Si une femme, malgré plusieurs maternités, n’arrive pas à élever un enfant car à chaque fois soit elle fait un avortement, donne naissance à un mort né ou encore a un enfant qui meurt à bas âge, pour cette femme désespérée ce serait un malheur qui la frappe. On suppose dans ce cas que la femme est une victime. Victime d’un maléfice, d’un anthropophage ou de la conséquence d’une faute d’un grand parent ou d’un arrière grand parent qui frappe ses enfants. — (René Gomis, Le rite de fécondité ou de fertilité (kañalan) )

Âlïndïpa Sepe