Yângâ tî Farânzi

Sepe

Pandôo

Sepe

antiseptique \ɑ̃.ti.sɛp.tik\ linô kôlï

  1. fâlïndïsa
    • Le docteur Paul, en blouse blanche, les mains gantées de caoutchouc, fumait cigarette sur cigarette. Il prétendait volontiers que le tabac est un des plus sûrs antiseptiques et il lui arrivait, au cours d’une autopsie, de fumer ses deux paquets de bleues.— (Georges SimenonMaigret et le corps sans tête , Presses de la Cité, 1955 ; rééd. Le Livre de poche, 2002, ISBN 978-2-253-14238-6, ch. 1, numéro 14238, lêmbëtï 22)}
    • Le traitement des formes non compliquées est simple et comporte à chacun des changes une désinfection bactérienne par un antiseptique à base de chlorhexidine par exemple suivie d’un séchage soigneux puis de l’application d’une crème ou d’un lait antifungique associée à un traitement antifungique per os uniquement en cas de muguet ou de diarrhée.— (Hervé Walti, Les Maladies du nourrisson , Presses Universitaires de France : collection « Que sais-je ? », 1994, chap. 8}, § 4}-2)
    • Les antiseptiques sont des substances semblables aux désinfectants, à ceci près qu’ils peuvent être utilisés directement sur la peau de l’animal dans le traitement des plaies, etc.— (Archie Hunter, Gerrit Uilenberg, Christian Meyer & al., Santé animale , Coll. Agricultures tropicales en poche, Cirad/CTA/Karthala/MacMillan, 2006, vol 1. Généralités, lêmbëtï 159 → dîko mbëtï)

Âlïndïpa

Sepe