Yângâ tî Farânzi

Sepe

Pandôo

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apatam \a.pa.tam\ linô kôlï

  1. gbända
    • Des piliers de bois grossièrement sculptés avaient été plantés dans le sol, en un rectangle de six mètres sur quatre environ. Ils formaient un édifice en plein air, recouvert d’un toit de branches et de paille de mil entassés sur une grande hauteur. Le jour, l’épaisseur protégeait de l’ardeur du soleil. Le toit était placé assez bas, de telle sorte que les hommes devaient courber la tête pour entrer sous l’apatam. — (Richard Guérin, Le médecin errant d’Afrique: Les aventures de Jonas , L’Harmattan, lêmbëtï 39 → dîko mbëtï)

Âlïndïpa

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