Yângâ tî Farânzi

Sepe

Palî

Sepe

apitoyer \a.pi.twa.je\ palî tî mbenze

  1. bâa mawa
    • Rien ne put l’apitoyer sur mon sort.
    • Regarde encore, regarde de nouveau. Ce n’est pas le moment de s’apitoyer à la vue du sang. — (Walter ScottIvanhoé , gbïänngö tî Alexandre Dumas, 1820)
    • La misère des idées dans les intérieurs riches arrive parfois à vous apitoyer. — ( Edmond de Goncourt, Jules de GoncourtIdées et sensations , 1866)
    • Il s’en alla ; puis il rouvrit la porte, et dit encore d’une voix impérieuse :
      — Surtout, défiez-vous d’Aristide, c’est un brouillon qui gâterait tout. Je l’ai assez étudié pour être certain qu’il retombera toujours sur ses pieds. Ne vous apitoyez pas ; car, si nous faisons fortune, il saura nous voler sa part.
      — (Émile ZolaLa Fortune des Rougon , G. Charpentier}, Paris, 1871, chapitre III ; réédition 1879, page 101)
    • Je ne veux pas apitoyer avec ce livre [Corydon] ; je veux GÊNER. — (André GideJournal 1889-1939Bibliothèque de la Pléiade, Éditions Gallimard, 1951, lêmbëtï 340)

Âlïndïpa

Sepe