Yângâ tî Afrikaans

Sepe

Pandôo

Sepe

appel \ˈa.pəl\

  1. pôme

Yângâ tî Farânzi

Sepe

Pandôo

Sepe

appel \a.pɛl\ linô kôlï

  1. irä
    • — Reviens, reviens, criaient les camarades ; reviens vite ! Lebrac, aux trois quarts enlisé, céda à leurs appels et voulut tourner bride. — (« Un sauvetage » na Louis PergaudLes Rustiques, nouvelles villageoises , 1921)
    • Bientôt tes appels ne seront plus que rauquements de plus en plus sourds, beuglements de désespoir si fatigués qu’ils ne dépasseront plus ta gorge, étranglée de terreur […] — (Jean RogissartPassantes d’Octobre , Paris: Librairie Arthème Fayard, 1958)
    • En contrebas du hameau, une voix féminine a retenti : “Plume !” Obéissant à l’appel de sa propriétaire, la chienne est repartie fissa. Mais nous avions un nom. — (« Carnet de la drôle de guerre » na Martin Durunewsletter du 25/03/220 de Philosophie Magazine. )
  2. ïrïngö-ndo
    • Je fais un appel à votre générosité.
    • L’appel du pouvoir corrompt tout.

Âlïndïpa

Sepe

Yângâ tî Frison

Sepe

Pandôo

Sepe

appel \ˈapəl\

  1. (Lêkëkë) pôme