Yângâ tî Farânzi

Sepe

Pandôo

Sepe

appropriation \a.pʁɔ.pʁi.ja.sjɔ̃\ linô gâlï

  1. gängö mve
    • Aussi les travaux d'appropriation et de défense du fort furent-ils continués. — (Jules VerneLe Pays des fourrures , Paris: J. Hetzel et Cie, 1873)
    • Bien qu’il fût meublé de fond en comble, prêt à recevoir son propriétaire, M. Donis, en s’y installant, avait fait entreprendre quelques travaux d’appropriation commandés par ses goûts et ses habitudes.— (Hector MalotLa Belle Madame Donis , 1873)
    • Lorsque l’homme a considéré son semblable comme une chose susceptible d’appropriation, la femme a été purement et simplement l’esclave de son mari. — (Alfred NaquetVers l’union libre , 1908)
    • En somme, il appartenait à la race qui avait fait l’Angleterre et l’Amérique ce qu’elles étaient. […] : sa personne constituait simplement un individu agressif, doué d’un sens aigu de l’appropriation, sans aucun sentiment de la cohésion de l’État, sans loyauté, sans dévouement, sans code d’honneur et même sans code de courage. — (H. G. WellsLa Guerre dans les airs , gbïänngö tî Henry-D. Davray na B. Kozakiewicz, 1908; Paris: Mercure de France, édition de 1921, lêmbëtï 83)
    • Pourtant les raisons qui fondent l’exigence de l’appropriation sociale des principaux moyens de production, d’échange, de financement et de communication n’ont pas disparu et se sont au contraire renforcées. — (Yves SalesseServices publics, entreprises publiques et appropriation sociale , ATTAC-Suisse, septembre 2004)

Âlïndïpa

Sepe