Yângâ tî Farânzi

Sepe

Pandôo

Sepe

asthme \asm\ linô kôlï

  1. (Sêndânganga) pängä
    • Bakounine nous tendit les deux mains et, respirant difficilement, à cause de son asthme, se leva et se mit à s’habiller. — (Vladimir Debagori-Mokrievitch, Souvenirs sur Bakounine , traduits par Marie Stromberg, La Revue blanche, 1895)
    • Il arriva par le train du soir, passa la nuit dans un nuage de fumée de cigarettes Espic — car il souffrait alors d’une crise d’asthme — et repartit le lendemain matin, déclarant que rien n’égalait la Loire en suavité et en magnificence. Ce passage d’un météore souffreteux n’en laissait pas moins une traînée de lumière et je crois de bonne foi notre cher Proust, par excès d’activité intellectuelle, phosphorescent. — (Léon DaudetSouvenirs des milieux littéraires, politiques, artistiques et médicaux/Salons et Journaux , Grasset, 1917, réédition Le Livre de Poche, âlêmbëtï 333-334)
    • En dégageant de l’histamine, ils provoquent des céphalées, voire, selon les allergologues, des rhinorrhées, des éternuements, des démangeaisons, de l’urticaire, des douleurs abdominales et même, pour les plus sensibles, de l’asthme — (« Malbouffe, le dico - Ça sulfite comme ça » na Les Dossiers du Canard enchaîné , 2018, lêmbëtï 77)

Âlïndïpa

Sepe