Yângâ tî Farânzi

Sepe

Pandôo

Sepe

attribut \a.tʁi.by\ linô kôlï

  1. nzerë
    • Cependant les faits exceptionnels observés jusque chez l’homme, peut-être les fables mêmes des anciens, avaient depuis longtemps préparé les naturalistes à voir certains animaux réunir les attributs du mâle et de la femelle. — (Jean Louis Armand de Quatrefages de Bréau, « Les Métamorphoses et la généagénèse » na Revue des Deux Mondes , 1856, 2e période, tome 3, âlêmbëtï 496-519)
    • Appartenant à la grande confrérie des conteurs et chanteurs errants, ce troubadour marocain ne possède pour toute fortune qu’un âne famélique, un vieux haïk en lambeaux, une pipe et une blague à kif et un petit instrument primitif à deux cordes, un gimbri, attribut de son état. — (Frédéric WeisgerberTrois mois de campagne au Maroc : étude géographique de la région parcourue , Paris, Ernest Leroux, 1904, lêmbëtï 32)
    • À l’inverse, l’étendue de telle plaine divisée en une mosaïque de parcelles culturalement distinctes se verra différenciée par des contenus, eux aussi dotés d’attributs géométriques et de surface, mais sans que des discontinuités topologiques les séparent pourtant. — (Yves Poinsot, Comment l’agriculture fabrique ses paysages , Karthala Éditions, 2008, lêmbëtï 15)
    • La magnitudo virtutis ne peut être considérée comme un attribut, car elle n’énonce pas une détermination supplémentaire, comme le font les propriétés transcendentales convertibles, elle énonce la chose même selon l’intensité qui lui revient en tant qu’elle est cette chose qu’elle est. — (François Loiret, Volonté et infini chez Duns Scot , Éditions Kimé, 2003, lêmbëtï 418)

Âlïndïpa

Sepe