Yângâ tî Farânzi Sepe

Pandôo Sepe

attroupement \a.tʁup.mɑ̃\ linô kôlï

  1. (Sêlizänzö) gângbi
    • Mais nous la connaissions aussi bien que lui la loi sur les attroupements. Nous savions que nous avions droit à trois sommations avant d’arriver aux coups de trique. Aussi, la première fois, personne ne bougeait. On restait là, bien tranquille, les mains dans les poches… Par exemple, au second roulement, on commençait à devenir vert et à regarder de droite à gauche par où il faudrait passer… Au troisième roulement, prrt ! c’était comme un départ de perdreaux, et des cris, des miaulements, un envolement de tabliers, de chapeaux, de casquettes, et puis là-bas derrière, les triques qui commençaient à taper. — (Alphonse Daudet, « Les trois sommations » na Contes du lundi , 1873, Fasquelle, collection Le Livre de Poche, 1974, page 172-173)
    • Pourtant des gens se détachaient de l’attroupement, […], et repartaient dans la direction de Londres, avec l’air satisfait de curieux qui n’ont rien perdu d’un beau spectacle. — (H. G. WellsLa Guerre dans les airs , 1908; Paris: Mercure de France, édition de 1921, traduction d’Henry-D. Davray et B. Kozakiewicz, lêmbëtï 62)
    • La force armée eut ordre de dissiper leur attroupement.
    • Attroupement séditieux.

Âlïndïpa Sepe