Yângâ tî Farânzi Sepe

Pandôo Sepe

autonomie \ɔ.tɔ.nɔ.mi\ linô gâlï

  1. likûne
    • C’est à ces sentiments nettement latins et fédéralistes tout ensemble de l’École de Marseille qu’il faut rattacher la manifestation à laquelle se livrèrent quelques Félibres, qui, par une déclaration solennelle, publiée le 22 février 1892, se déclaraient partisans de l’autonomie et de la fédération des provinces françaises. — (Émile Ripert, Le Félibrige , Armand Collin, 1924, lêmbëtï 142)
    • Aujourd’hui, on fait grief à la France de ne pas concéder à l’Alsace cette même autonomie que l’Allemagne avait accordée au Reichsland. Mais quelle était donc cette autonomie ? […] Somme toute, l’Alsace n’exerçait son autonomie que pour des dispositions ménagères. — (Ludovic NaudeauLa France se regarde , 1931)
    • Il faut un contexte social et politique tout à fait particulier pour que ces mêmes pouvoirs initient des réformes importantes, comme le fit Atatürk dans la Turquie des années 1920 ou, dans les années 1990, les pays turcophones ayant recouvré leur autonomie après la chute de l’URSS. — (Jean-Pierre Jaffré, « De la variation en orthographe » na ELA : Études de linguistique appliquée , 2010/3, n° 159, lêmbëtï 323)

Âlïndïpa Sepe