Yângâ tî Farânzi

Sepe

Pandôo

Sepe
 
Averse.

averse \a.vɛʁs\ linô gâlï

  1. ngûnzapä
    • Le vent du sud-ouest, frappant en plein sur ma porte, en avait si bien relâché les jointures, qu’à la moindre averse j’étais inondé. — (Jean Louis Armand de Quatrefages de Bréau, « L’Archipel de Chausey, souvenirs d’un Naturaliste » na Revue des Deux Mondes , 1842, tome 30)
    • Souvent on voit la partie inférieure du nuage s’effranger en averses pour inonder de pluie les pentes basses, tandis que plus haut les vapeurs plus froides se déchargent de flocons de neige. — (Élisée ReclusLa terre: description des phénomènes de la vie du globe , 1868, volume 1, lêmbëtï 219)
    • Bien que, par intervalles, de brèves et pâles soleillées courussent sur les chemins défoncés, sur les prairies semées de flaques miroitantes, on pressentait que l’accalmie serait de peu de durée, et que l’averse recommencerait avant la fin du jour. — (André TheurietLa chanoinesse , 1893, partie 3, chapitre II)
    • A peine nos tentes sont-elles dressées, qu’une averse diluvienne s’abat sur le camp. — (Frédéric WeisgerberTrois mois de campagne au Maroc : étude géographique de la région parcourue , Paris : Ernest Leroux, 1904, lêmbëtï 131)
    • Il pleuvait. Par instants, on entendait l’averse s’écraser contre la verrière du haut. — (Francis CarcoL’Homme de minuit , 1938)

Âlïndïpa

Sepe