Yângâ tî Farânzi Sepe

Pandôo Sepe

aversion \a.vɛʁ.sjɔ̃\ linô gâlï

  1. këngö
    • Le mépris où il tenait le nationalisme dont j'ai toujours eu l'aversion, le dédain qu'il témoignait pour les trémolos sur le grand air de patrie qui enchantaient le sentimentalisme alangui de mon cher Paul Deschanel achevèrent de m'attacher à lui. — (Joseph CaillauxMes Mémoires: (I) Ma jeunesse orgueilleuse , 1942)
    • Un leitmotiv principal à travers son œuvre est sans aucun doute la grande aversion qu'il porte contre cette génération fondamentalement dégénérée de soixante-huitards. — (Benjamin Verpoort, « Voyage au bout de l'Europe : Lanzarote de Michel Houellebecq » na Michel Houellebecq sous la loupe , études réunies sous la direction de Murielle Lucie Clément & Sabine van Wesemael, Rodopi, 2007, lêmbëtï 308)
    • Son père, […], est surnommé « Camélinat le Rouge » pour ses convictions républicaines. Cet austère paysan a élevé ses enfants dans l’aversion de la monarchie, puis de l’Empire. — (Rosa Moussaoui, Zéphyrin Camélinat (1840-1932) Un long chemin, de la commune au communisme , dans L'Humanité, 7 septembre 2011)
    • Le contraire de l'amour, ce n'est pas la haine, mais l'aversion. On peut tomber subitement amoureux d'une personne qu'on déteste, mais pas d'une personne qui nous répugne. — (Mustafa Fahmi, La promesse de Juliette , éditions La Peuplade, Saguenay (Québec), 2021, lêmbëtï 66)

Âlïndïpa Sepe