Yângâ tî Farânzi

Sepe

Pandôo

Sepe
 
Paire de babouches marocaines

babouche \ba.buʃ\ linô gâlï

  1. sapâto
    • C’est là que les anciens Mores déposaient leurs babouches avant d’entrer, en signe de déférence, à peu près comme nous ôtons nos chapeaux dans les endroits respectables. — (Théophile GautierVoyage en Espagne , 1840, édition Charpentier, 1859, chap. XI)
    • Et ça encore, continua-t-il en reconnaissant ses pantoufles dans les pieds de Marcel, ce ne sont donc pas mes babouches, présent d’une main chère ? — (Henry MurgerScènes de la vie de bohème , 1848)
    • L’uniforme se compose d'un pantalon-jupe […], d’un gilet […] et d’une veste […]. Un tarbouch rouge, des babouches (belgha) de cuir jaune, chaussure absurde pour des soldats, une jellâba, espèce de capote à capuchon, complètent le costume. — (Frédéric WeisgerberTrois mois de campagne au Maroc : étude géographique de la région parcourue , Paris : Ernest Leroux, 1904, lêmbëtï 81)
    • Ses pieds gantés de babouches en cuir blanc posaient sur un coussin d’eau chaude. — (André GideLes Caves du Vatican , 1914)
    • Oui, ma chère, il parait que cette adolescente a le pied si mignon qu’un enfant de huit ans pourrait sans se moquer lui prêter ses babouches. — (Ali-Bert, « Le Retour du Pacha » na paru en épisodes dans La Proue , 1930)
    • Elle rougit de confusion. Elle était en chemise de nuit et en babouches. — (« Zaheira » na Out-el-KouloubTrois Contes de l’Amour et de la Mort , 1940)

Âlïndïpa

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