bagage
Pandôo
Sepebagage \ba.ɡaʒ\ linô kôlï
- kûngbâ
- Vers cet âge, il se faisait par semaine trois shillings et plus en portant les bagages des voyageurs à la station et en vendant la gazette hebdomadaire de la localité. — (H. G. Wells, La Guerre dans les airs , gbïänngö tî Henry-D. Davray na B. Kozakiewicz, 1908; Paris: Mercure de France, édition de 1921, lêmbëtï 10)
- Voyez-vous, je n’ai que faire de tout ce bric-à-brac qui vous est nécessaire. Ma brosse à dent, voilà tout mon bagage. — (Henry Miller, « L’Ancien Combattant alcoolique au crâne en planche à lessive » na Max et les Phagocytes , gbïänngö tî Jean-Claude Lefaure, éditions du Chêne, 1947)
- Il me faut repasser par la gare où j’ai laissé mon léger bagage en consigne. — (Jules Verne, Claudius Bombarnac , Paris: J. Hetzel et Cie, 1892, âlêmbëtï 3)
- La première partie du chemin se fit à la raquette, et les bagages, les vivres et les munitions furent portés à force de bras sur des traîneaux sauvages appelés tabaganes. — (Joseph Marmette, Les Machabées de la Nouvelle-France: histoire d'une famille canadienne, 1641-1768 , Québec : Imprimerie de Léger Brousseau, 1878, lêmbëtï 83)
Âlïndïpa
Sepe- Musanji Ngalasso-Mwatha, Bakarî Farânzi – Lingäla – Sängö , 2013, OIF/ELAN/Présence africaine