baie
Pandôo 2
Sepebaie \bɛ\ linô gâlï
- fûru
- De plus, une étude menée sur trois types de sites, un lagon, une baie semi-fermée et la mer ouverte, montre que si l’impact est mesurable en baie fermée, ce qui implique un suivi de l’enrichissement en matière organique et un contrôle de la biomasse en élevage, il est faible en baie semi-ouverte et tout juste décelable en mer ouverte seulement par la concentration en ammoniaque à proximité immédiate du train de cages. — (Denis Lacroix, Aquaculture insulaire et tropicale , 1998, lêmbëtï 14)
- Cette baie aux contours harmonieux, cette ville blanche qui descend vers la mer, cette romanesque Kasbah, qui, de minute en minute, se précisent et se rapprochent, c’est Tanger. — (Wladimir d’Ormesson, La Question de Tanger in La Revue de Paris , 1922)
- Baie : a) Échancrure d’une côte, largement ouverte et dont l’étendue est, en gros, intermédiaire entre celle d’un golfe et celle d’une anse.
b) Dans la terminologie du droit de la mer, échancrure très marquée de la côte, dont la pénétration dans les terres est, par rapport à la largeur de son ouverture, dans des proportions telles qu’elle peut contenir des eaux intérieures. — (« Baie » na Dictionnaire hydrographique , (S-32) de l’Organisation hydrographique internationale (OHI), 2010 → dîko mbëtï)
Âlïndïpa
Sepe- Musanji Ngalasso-Mwatha, Bakarî Farânzi – Lingäla – Sängö , 2013, OIF/ELAN/Présence africaine
Pandôo
Sepebaie \sêndagô ?\