bal
Pandôo
Sepebal \bal\ linô kôlï
- (Dödô) dödô
- « Que le diable emporte les bals et les inventeurs de ce sot divertissement ! maugréait-il. […] On vante les bals, leur gaité ; quelle erreur ! […] Eh quoi ! Un homme adulte n’a pas honte de se faire voir tout de noir habillé, étriqué comme un diable, et de gigoter. D’aucuns même, tout en sautillant comme bouquetins, ne craignent pas de parler de choses graves […]. Singeries que tout cela ! […] Franchement, après chaque bal, je crois avoir commis un péché, et j’ai hâte de l’oublier. […] Franchement que peut-on tirer d’un bal ? » — (Nicolas Gogol, Les Âmes mortes , gbïänngö tî Henri Mongault, 1949, 1842)
- On arriva sur une petite place circulaire, où étaient dressées quelques boutiques, un bal, un manège. Il n’y avait pas grande foule, quelques badauds seulement circulaient. — (André Dhôtel, Le Pays où l’on n’arrive jamais , 1955)
- Ils n’avaient pas dépassé la boutique de l’épicier, vers la mer, que le tonitrument de l’autre bal, celui qui était de ce côté-ci du fleuve, s’éleva à son tour. — (Marguerite Duras, Les Petits chevaux de Tarquinia , Gallimard, 1968, lêmbëtï 112)
- Née en 1889, ma mère ne tarda pas à envoûter les reporters par sa beauté qui d’emblée faisait d’elle la reine des bals des débutantes. — (Christopher Lee, Le Seigneur du désordre : autobiographie , Camion noir, 2013, chapitre 6)
Âlïndïpa
Sepe- Musanji Ngalasso-Mwatha, Bakarî Farânzi – Lingäla – Sängö , 2013, OIF/ELAN/Présence africaine