Yângâ tî Farânzi

Sepe

Pandôo

Sepe
 
Un ballot de foin.

ballot \ba.lo\ linô kôlï

  1. balöo
    • Tenez : faites donc faire un ballot de tout ce qui est envoyable, et me le jetez au roulage. — (L. Spach, « Les professeurs de Français en Alsace » na Revue d’Alsace , 1863, volume 14, lêmbëtï 207)
    • Alors demeurait au fond de l’impasse Saint-Mittre, dans une masure dont les derrières donnaient sur le terrain des Fouque, un homme mal famé, que l’on désignait d’habitude sous cette locution, « ce gueux de Macquart. » Cet homme disparaissait pendant des semaines entières ; puis on le voyait reparaître, un beau soir, les bras vides, les mains dans les poches, flânant ; il sifflait, il semblait revenir d’une petite promenade. Et les femmes, assises sur le seuil de leur porte, disaient en le voyant passer : « Tiens ! ce gueux de Macquart ! il aura caché ses ballots et son fusil dans quelque creux de la Viorne. » — (Émile Zola, La Fortune des Rougon , G. Charpentier}, Paris, 1871, chapitre II ; réédition 1879, page 49)
    • Voilà votre ballot : (Ngbêne) Voilà votre fait, ce qui vous est propre.

Âlïndïpa

Sepe