Yângâ tî Farânzi

Sepe

Pandôo

Sepe
 
Un bananier Musa sp.

bananier \ba.na.nje\ linô kôlï

  1. (Bangë) këkë tî bulëe, këkë tî fondo; Âmângbi tî pöpöködörö: Musa paradisiaca, Musa sapietum (Musaceae)
    • Le bananier est avant tout une plante alimentaire cultivée pour son fruit consommable frais (bananes dessert) ou cuit (plantain et autres bananes à cuire), qui constitue une source importante d’hydrates de carbone. — (Cirad/Gret/MAE, Mémento de l’agronome , Cirad/Gret/Ministère des Affaires étrangères, Paris, 2002, lêmbëtï 962)
    • Il conseille d’arracher et de détruire les bananiers atteints, de fourchetter et de chauler fortement le sol avant replantation. — (Désiré Kervégant, Le bananier et son exploitation , 1935, lêmbëtï 357)
    • Chacun de ces fragmens du corps humain forme une pièce de viande que l’on enveloppe soigneusement dans des feuilles de bananier vertes, et que l’on met au four pour la faire rôtir avec la racine de tara. — (Dillon, « Voyage dans la mer du sud » na Revue des Deux Mondes , 1830, tome 1)
    • On raconte qu'en 1543, la ville de Lima était déjà entourée de bananeraies, mais qu'une invasion de fourmis ayant mis la ville à sac, pour ainsi dire, en détruisant les vivres dans toutes les maisons, on attribua le fléau aux plantations de bananiers. La municipalité donna aussitôt l'ordre d'arracher tous les plants […]. — (Élisée Reclus, « Nouvelle géographie universelle » na les régions andines , Paris : Librairie Hachette & Cie, 1893, tome 18 : Amérique du sud, chap. 8, lêmbëtï 612)

Âlïndïpa

Sepe

Pandôo

Sepe

bananier \sêndagô ?\

  1. (Bangë) këkë tî bulëe, këkë tî fondo