banc
Pandôo
Sepebanc \bɑ̃\ linô kôlï
- (Yê tî yâda) bâan
- La promenade fut aménagée pour le bonheur des promeneurs : piste cyclable, crottoirs pour toutous à sa mémère, bancs nombreux et propres permettant de s'extasier devant l’ire des marées. — (José Herbert, Signé la grande faucheuse: Un roman déjanté ! , éditions Delambre, 2016)
- Les amoureux qui s’bécott’nt sur les bancs publics
Bancs publics, bancs publics
En s’foutant pas mal du regard oblique
Des passants honnêtes
Les amoureux qui s’bécott’nt sur les bancs publics
Bancs publics, bancs publics
En s’disant des « Je t’aime » pathétiques
Ont des p’tit’s gueul’ bien sympatiques. — (Georges Brassens, « Bancs publics » na Le Vent , 1953)
- mêzä tî kûngbâ
- Pierre-Yves et Françoise Godard ont repris un banc au sein du marché couvert de la place Jean-Yole où ils proposent fruits et légumes de saison. — (Ouest France , 17 Ngberere 2012)
- Le commerçant place son banc principal sur d’autres marchés. À Metz ou en Alsace, par exemple. — (L’Est républicain , 21 Kakauka 2009)
Âlïndïpa
Sepe- Karan, Elke, Kêtê bakarî tî Sängö: Farânzi, Angelëe na Yângâ tî Zâmani, 1st ed. , 1995 → dîko mbëtï
Kataläan
SepePandôo
Sepebanc \sêndagô ?\