bandit
Pandôo
Sepebandit \sêndagô ?\
Pandôo
Sepebandit \bɑ̃.di\ linô kôlï
- zo tî kîkîkiri, waginon, wasïönî
- L’enragé qu’il était, né roi d’une province
Qu’il pouvait gouverner en bon et sage prince,
S’en alla follement, et pensant être dieu,
Courir comme un bandit qui n’a ni feu ni lieu ;
Et, traînant avec soi les horreurs de la guerre,
De sa vaste folie emplir toute la terre. — (Nicolas Boileau, Les Satires , satire VIII) - Vos bandits sont des crapules, de la basse fripouille. Les nôtres sont d’honnêtes gens. — (Jean Rogissart, Passantes d’Octobre , Paris: Librairie Arthème Fayard, 1958)
- De héros épique, Mémed devient bandit d’honneur : c’est sa manière d’entrer dans la légende, en conciliant son impossible retour avec son aura. — (Jean-Pierre Deléage, Yachar Kémal : forgeron obligé d’écriture , 1998, lêmbëtï 197)
- En plus, son papa, qui a parfois des idées saugrenues, lui raconte l’histoire de la cour des Miracles, le repaire au Moyen Âge de tous les voleurs, tire-laine et autres bandits qui infestaient la ville de Paris. — (Alain Chennevière, La cour des Miracles , Magnard, 2002)
- Dès la fin des années 1880, en effet, des « bandits » se prévalent de l’anarchisme pour opérer non des vols ou des cambriolages, mais des « reprises individuelles ». — (Gilles Ferragu, Histoire du terrorisme , sous la direction éditoriale d’Olivier Wieviorka, Éditions Perrin (EDI8), 2014)
- L’enragé qu’il était, né roi d’une province
Âlïndïpa
Sepe- Musanji Ngalasso-Mwatha, Bakarî Farânzi – Lingäla – Sängö , 2013, OIF/ELAN/Présence africaine