baobab
Yângâ tî Afrikaans
SepePandôo
Sepebaobab \sêndagô ?\
Pandôo
Sepebaobab \ˈbaʊbæb\, \ˈbeɪoʊˌbæb\ wala \ˈbeɪə(ʊ)bab\
- gira (Adansonia digitata)
Pandôo
Sepebaobab \sêndagô ?\
Pandôo
Sepebaobab \sêndagô ?\
Pandôo
Sepebaobab \ba.ɔ.bab\ linô kôlï
- (Këkë) gira
- Le fruit du baobab, qui est comestible, se nomme le pain de singe.
- Les baobabs, avant de grandir, ça commence par être petit. — (Antoine de Saint-Exupéry, Le petit Prince , 1943)
- L’un des baobabs signalés par Adanson à Ouakam est peut-être l’arbre à griots connu sous le nom de gouy guevel, abattu le 7 juillet 1959 et dont la circonférence, à 1 m du sol, était de 22, 50 m en 1958, la différence en diminution étant expliquée par le fait qu’Adanson dut prendre sa mesure au sol.— (Raymond Mauny, Tableau géographique de l’Ouest africain au Moyen-âge , 1961, lêmbëtï 63)
- Les enfants fraîchement circoncis, njulli, se livraient à une longue marche pour rejoindre le baobab totem et accomplir les rites sous la surveillance des selbé. — (Abdoul Hadir Aïdara, Saint-Louis du Sénégal: d'hier à aujourd'hui , Grandvaux, 2004, lêmbëtï 31)
- Quant à la symbolique du baobab, qu’on retrouve sur les sceaux de la République, on peut dire qu’en milieu sereer (groupe d’origine du président Senghor), c’est un arbre sacralisé qui matérialise, très souvent, un lieu de culte s’il est le réceptacle des pangool ou esprits ancestraux. Chez les Sereer, le baobab symbolise aussi le lieu d’intronisation du roi et, selon la tradition, les buur livraient, très souvent, des batailles autour de cet arbre sacré.— (Adama Djigo, « Patrimoine culturel et identité nationale : construction historique d’une notion au Sénégal » na Journal des africanistes , 85-1/2 2015, mis en ligne 7 Lengua 2016, dïköngö-mbëtï na 13 Mbängü 2020 → dîko mbëtï)
Âlïndïpa
Sepe- Musanji Ngalasso-Mwatha, Bakarî Farânzi – Lingäla – Sängö , 2013, OIF/ELAN/Présence africaine
Pandôo
Sepebaobab \baː.oːˈbɑp\ wala \ˈbaː.oː.bɑp\
- (Këkë) gira
Pandôo
Sepebaobab \sêndagô ?\