Yângâ tî Farânzi

Sepe

Pandôo

Sepe
 
Baraque sur la grève de Chales, à Saint Malo (1916), pastel Malo-Renault (sens 1)

baraque \ba.ʁak\ linô gâlï

  1. da tî këkë
    • Ils habitaient des baraques en planches dont une dizaine, groupées auprès du port Marie, composaient le petit hameau désigné sous le nom de village des Malouins. Deux de ces baraques étaient occupées par des cantines où on vendait du tabac, du cidre et de l’eau-de-vie ; une troisième était consacrée à la forge. — (Jean Louis Armand de Quatrefages de Bréau, « L’Archipel de Chausey, souvenirs d’un Naturaliste » na Revue des Deux Mondes , 1842, tome 30)
    • Il s’arrêtait devant la marchande qui a sa baraque au parvis Saint-Louis, et il lui achetait, pour Mlle Gilberte, un bouquet de saison. — (Émile GaboriauL’Argent des autres , 1874)
    • Le travail de ces milliers de condamnés à mort aura pour résultat la création d'un camp de concentration immense, contenant plus de deux cents baraques et quatre fours crématoires (le nombre des détenus de Birkenau a dépassé 100.000 pendant l'été 1944). — (Joseph-Désiré Hafner, Aspects pathologiques du camp de concentration d'Auschwitz-Birkenau , thèse de doctorat de médecine, Faculté de médecine de Paris, soutenue le 14 juin 1946, Imprimerie Union coopérative.)
  2. (Mbumbuse, Könöngö) gbägbärä-da

Âlïndïpa

Sepe