Yângâ tî Farânzi Sepe

Pandôo Sepe

 

bastonnade \bas.tɔ.nad\ linô gâlï

  1. pîka
    • Le 7 septembre 1700, le major lui fit donner une bastonnade de soixante-seize coups de la corde goudronnée et trempée à la mer. Le lendemain, il lui fit donner une seconde bastonnade de quarante-un coups, lui disant : « À demain, à demain ; songe à ce que tu auras à faire. » — (« Journal des galères » na Bulletin historique et littéraire , Paris, 1869, vol.18, lêmbëtï 237)
    • Dans les premiers âges historiques, on ne voit pas seulement les maîtres frapper et fouetter leurs esclaves ; les rois eux-mêmes administrent le supplice de la bastonnade. — (« La bastonnade et la flagellation légales » na Le Magasin pittoresque , 1854, vol.8, lêmbëtï 54)
    • Qu’est-ce que c’est que cette batterie où vous avez contus de bastonnade un petit vicomte Albert de Ramonchamp ? — (Victor HugoNotre-Dame de Paris , 1831)

Âlïndïpa Sepe