Yângâ tî Farânzi

Sepe

Pandôo

Sepe

beau-frère \bo.fʁɛʁ\ linô kôlï

  1. (Sëwä) monya, kôgarä
    • Il était donc logique qu'en juillet 1958, je termine mon voyage de noce en ce haut lieu (châteaux de la Loire en 2 CV et guitoune de camping) avec pour chauffeur mon tout nouveau beau-frère, car je ne savais pas encore conduire. — (Gabriel Cohn-BenditNous sommes en marche , Éditions Flammarion, 1999, lêmbëtï 112)
    • En attendant l’égalité, par la loi, du droit d’héritage, c’est une avancée pour ces citoyennes que les vieilles lois tribales dépossédaient systématiquement, leur léguant la moitié de ce que prennent les hommes, les dépouillant à la mort du mari au bénéfice des beaux-frères et beaux-parents, les excluant de l’accès au capital. — (Kamel Daoud, « Fin de l’esclavage confessionnel » na Le Point , 21 Mvuka 2017, n° 2350)

Âlïndïpa

Sepe
  • Karan, Elke, Kêtê bakarî tî Sängö: Farânzi, Angelëe na Yângâ tî Zâmani, 1st ed. , 1995 → dîko mbëtï