besace
Yângâ tî Farânzi Sepe
Pandôo Sepe
besace \bə.zas\ linô gâlï
- nzambö
- Misère habitait à l’écart une pauvre cassine en pisé, où elle n’avait pour toute société qu’un chien, qui s’appelait Faro, et pour tout bien qu’un bâton et une besace, que trop souvent elle rapportait aux trois quarts vide. — (Charles Deulin, « Le Poirier de Misère » na Cambrinus et autres Contes , circa 1847–1875)
- Je veux la porter [la lettre anonyme] au Casino, montrer à tous qu’elle est de cet infâme Valenod, que j’ai pris à la besace pour en faire un des plus riches bourgeois de Verrières. — (Stendhal, Le Rouge et le Noir , chapitre XXIII, 1830)
- Deux fois par semaine, environ, il [le facteur] arrivait. On voyait sa blouse bleue s’approcher dans la grande allée. Puis, on distinguait son sac, une sorte de besace à carreaux de paille, jaunes et noirs, comme en ont dans les Landes les mendiants et les vagabonds. — (Pierre Benoit, Mademoiselle de la Ferté , Albin Michel, 1923, Cercle du Bibliophile, lêmbëtï 91)
- Préparer une besace.
Âlïndïpa Sepe
- Musanji Ngalasso-Mwatha, Bakarî Farânzi – Lingäla – Sängö , 2013, OIF/ELAN/Présence africaine