Yângâ tî Farânzi Sepe

Pandôo Sepe

besogne \bə.zɔɲ\ linô gâlï

  1. kua
    • L’esprit infatigable soutient le corps surmené ; il le relève, défaillant. Loin d’être accablé, écrasé par les besognes du présent, aux courtes heures du repos, il conçoit avec une lucidité merveilleuse les besognes de l’avenir. — (Octave MirbeauLa Mort de Balzac , 1907)
    • C’était, en effet, une longue besogne que d’organiser une telle expédition à travers les régions polaires ! — (Jules VerneLe Pays des fourrures , Paris: J. Hetzel et Cie, 1873)
    • Et en s’en allant, Jacques sentit bien que la besogne dont il voulait être l’humble ouvrier était immense, écrasante. — (Isabelle EberhardtLe Major , 1903)
    • Ils avaient retiré leur tunique, posé leur épée à terre, et ils s’acharnaient superbement à la besogne, […]. — (H. G. WellsLa Guerre dans les airs , 1908; Paris: Mercure de France, édition de 1921, traduction d’Henry-D. Davray et B. Kozakiewicz, lêmbëtï 349)
    • Un éditeur […] lui proposa de rafistoler les manuscrits d’un grand faiseur feuilletonnesque. […]. Henri se mit à la besogne, remania l’infâme et crasseuse foutaise du romancier célèbre, pimenta cette ratatouille sans goût. — (Victor MéricLes Compagnons de l’Escopette , Paris: Éditions de l’Épi, 1930, lêmbëtï 32)

Âlïndïpa Sepe